La Maison Chapal dans la vraie vie : début des marchés de créateurs

La Maison Chapal à son premier marché des créateurs à Toulouse

La Maison Chapal à son premier marché à Toulouse, ça rigoule.

Ce weekend, c’était l’inauguration, que dis-je, le lancement de la fusée Maison Chapal dans l’espace intergalactique des marchés de Noël. En réalité, je n’en ferai que deux cette année pour des soucis de temps, logistique, bébé à garder, mais dans l’idée c’était un très bon test pour 2022, année sans aucun doute du début de la gloire éternelle, où je vais essayer de faire tous les marchés de créateurs possibles et inimaginables de la région.

Certes, il a fallu charger et décharger mon barda sous la pluie (voire même dans la nuit)(ma vie est une aventure), avec un p’tit mal au dos qui fait plaisir, ce qui n’était donc pas la partie la plus marrante, mais au final c’était vraiment chouette de se frotter au monde réel, aux gens (je me suis pas vraiment frottée à eux, calmons-nous), et de rencontrer d’autres créateurices de tous bords.

La Maison Chapal au marché de Noël de Lézat sur Lèze

La Maison Chapal au marché de Noël de Lézat sur Lèze

Le premier marché était celui des Pradettes à Toulouse, qui avait lieu pendant le Téléthon, et qui était assez petit et vraiment focus sur la création, à l’inverse du deuxième marché, à Lézat sur Lèze, qui était clairement un marché de Noël, dans un grand gymnase avec plein plein plein de stands très très très différents (du miel, des fleurs artificielles, des huitres, des bonnets, et une chouette et talentueuse voisine qui fabriquait entre autres de minuscules poupées qui avaient des noms de médicaments et une petite histoire perso)(j’ai mal résumé, c’est mieux quand elle le présente)(bref). Entre le marché de samedi et celui de dimanche, j’ai modifié l’aspect et la structure du stand en écoutant les bons conseils de Marion — Les Crocrocro — qui avait le plus beau stand du marché, et j’ai pas mal d’idées encore pour l’améliorer à nouveau (notamment sur la communication visuelle, qu’on sache que je suis illustratrice, car les gens me demandent toujours si c’est moi qui illustre ou si je suis juste éditrice de papeterie ; sur l’affichage des prix également, et deux-trois p’tits trucs marrants à placer par ci par là car comme chacun sait l’humour c’est mon dada).

Se posent les inévitables questions du stock : combien de cadres emmener (car ça prend de la place…), que sacrifier comme articles sur ma petite table de 2m de long (car j’ai tellement d’illustrations en cours ou même déjà faites que je ne peux pas tout montrer), à qui on s’adresse comme public et donc quels produits présenter (car oui tout ça c’est du bizness, mon dieu). Pour l’instant, je n’ai pas les réponses, donc dans le doute j’emmène plein de trucs inutiles et j’oublie d’emmener les trucs utiles car tel est mon sens de l’organisation. (Ça va changer).

J’ai à peu près capté combien de temps je mettais pour charger et décharger tout ce barda, pour monter le stand (et j’imagine qu’à force, je vais gagner du temps, même s’il faudra à chaque fois s’adapter à des configurations différentes), et ce qui me manquait principalement (mais je le savais) : des enveloppes cartonnées rigides pour emballer les cadres achetés, de quoi protéger les choses les plus fragiles, les p’tits plus qui font pro. Bon, mais ça demandait un investissement que je ne pouvais pas encore faire, ce qui n’est plus le cas désormais car grâce aux ventes (mirifiques)(en vrai, oui je trouve) de ce weekend, je peux alimenter le marché du carton d’emballage encore un peu plus !

Et surtout, ce que je retiens de tout ça : beaucoup de good vibes, de rencontres, de rires (faut pas se prendre au sérieux), des gens improbables, et un coup de boost pour le futur !

À bientôt donc !

Roxane

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